
En lisant Les Chroniques d’Alvin le Faiseur, tome 4 : le Compagnon, à un moment donné, j’ai réalisé que j’avais déjà lu 350 pages, que je n’avais pas vu le temps passé, alors qu’il ne s’était pas passé tant de choses que ça dans l’intrigue. Mais j’étais bien dans cet univers et le simple plaisir de continuer à s’en imprégner suffisait à mon bonheur. Ce tome semble poser des jalons pour des événements nettement plus spectaculaires que l’on attend avec impatience. Bref, on ressort de cet épisode avec une grande envie de lire le prochain dès que possible.
Plus j’avance dans cette saga, plus j’apprends à l’apprécier. Pourtant, le premier volet était loin de m’avoir pleinement convaincu. Avec les Chroniques d’Alvin le Faiseur, tome 4 : le Compagnon, Orson Scott Card semble totalement maîtriser l’univers qu’il a crée et les personnages auquel il a donné naissance. Un univers qui reste étonnant et original dont il exploite toutes les possibilités. Le style reste particulièrement clair et permet au lecteur d’avancer tout en douceur et surtout en plaisir. Une route que ce dernier a très envie de continuer à suivre.