NO SONG, NO SPELL, NO MADRIGAL (The Apartments), THE FINE ART OF HANGING ON (The Leisure Society), WIRE (Wire): Découvertes sans saveur

nosongnospellnomadrigalthepartmentsUn avis rempli de découvertes, dont aucun n’est emballante malheureusement. On commence par The Aparments, un groupe australien qui sévit depuis 1985, mais dont je n’avais jamais entendu parler. Encore moins donc de leur dernier album en date, sorti en 2015, intitulé No Song, No Spell, No Madrigal. Ce groupe se caractérise par un style où la voix n’est pas tout à fait en rythme avec la musique. Le problème est ce que cette voix ne présente aucun intérêt particulier. Elle prend un ton un peu crooner quelque fois, mais en gardant une voix aiguë. Heureusement que quelques titres sont chantés en duo. Au final, ce n’est même pas vraiment mauvais, juste monotone et parfois même lancinant.

thefinartofhangingontheleisuresocietyOn poursuit avec la pop maîtrisé et fraîche de The Leisure Society, un groupe anglais, et leur album the Fine Art of Hanging On. Bon le problème avec la pop anglaise, c’est que le créneau est largement encombré. Le résultat est ici trop transparent pour sortir vraiment du lot du coup. Ce n’est pas mauvais non plus, mais le style manque franchement de punch. Le résultat est donc au final un rien monotone. Trop pour être remarqué en tout cas.

wirewireOn termine par le groupe Wire et leur album éponyme. Un autre groupe anglais au style déjà plus original. Un rock avec à la fois de grosses guitares, mais aussi parfois des sonorités électro. Le résultat est maîtrisé avec une ligne mélodique toujours assez claire. Malheureusement, cela reste parfois un peu lancinant, pas désagréable, mais trop formaté. On retiendra tout de même un titre : Joust & Jostle.

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