NE JAMAIS PARTIR AVANT LA FIN !

arsenalbarceloneA la 60ème minute du Arsenal-Barcelone d’hier, j’avais prévu d’écrire un tout autre billet que celui que je vais vous offrir. En effet, l’équipe espagnol menait alors 2-0, nous offrant un football de toute beauté, qui aurait pu se concrétiser par deux ou trois buts de plus. Rien ne semblait pouvoir sauver Arsenal et j’allais vous chanter les louanges du style et de la force des homme de Josep Guardiola.

Mais voilà, Theo Walcott est rentré et tout à changer. Arsenal est revenu à 2 partout. Bien sûr, Barcelone reste largement en position de force pour la qualification avant le match retour. Il n’empêche que ce retournement de situation inattendu a largement contribué à la qualité du spectacle offert hier soir par les deux équipes et qui fut de toute beauté. Il nous a surtout rappelé une des raisons principales pour lesquels le football est un sport unique.

Chaque match de football offre un scénario le plus souvent imprévisible. La domination barcelonaise pendant les deux tiers du match se serait traduit dans n’importe quel autre sport par un écart totalement insurmontable pour l’équipe adverse. En football, la rareté des buts font que le hasard et la chance jouent un rôle majeur dans une partie. Cela fait évidemment sa force, certains diront sa faiblesse puisque c’est le seul sport qui offre des scores nuls et vierges (fait envisageable au rugby ou au hockey sur glace, mais rarissime). C’est pour ça (entre autres) qu’il passionne autant de gens autour de la planète. Parce que chaque match recèle en lui la possibilité d’un grand match ou du moins d’un fort suspense.

Au football, le petit peut manger le grand et même si le petit joue moins bien… Et c’est là que je commence à m’inquiéter pour Quevilly-PSG…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *