
Les Machines de Dieu est composé de deux parties bien distinctes. La première captive assez rapidement et on plonge directement au cœur de ce récit. Mais il est vrai que l’attente forte qui naît immédiatement est un peu déçue car au final l’intrigue avance beaucoup moins que ce qu’on aurait espéré. Heureusement, la seconde partie permet au roman de reprendre un second souffle. Le ton est différent, un peu plus tourné vers l’action et le suspense. Ce changement est aussi agréable que surprenant.
Au final, Les Machines de Dieu ne révolutionne pas la science-fiction, mais séduira tous les amateurs du genre. Et c’est heureux car ce roman possède une suite (6 même en fait) qui attend d’être lue sur le sol de ma chambre (ou par manque de place, par terre est un meuble chez moi…). C’est donc sans appréhension que je me plongerai dedans. Même si on sait que c’est souvent dans les suites que naissent les déceptions.