DEMAIN, J’ARRETE LE SPORT !

muscles

musclesAprès avoir révélé ma pouffitude, après avoir kiffé mon chapeau, je crois que j’ai franchis une nouvelle étape dans la superficialité… Voilà que je me mets au sport, et à la muscu en particulier. Non, mais franchement, qu’est ce qui m’arrive ????

Certes, j’avais déjà pratique pompes et abdos matin, et souvent soir, pendant une bonne partie de l’année 2009, avant de connaître un arrêt brutal et total pendant plus de six mois. Mais bon là, ça a pris une toute autre dimension. Parce qu’en plus des exercices du matin, que j’ai diversifié, c’est vélo (dont j’ai du enlever pas mal de poussière avant de remonter dessus) ou haltères quasiment chaque soir… Parce que pour ne rien arranger, mes amis qui partent vivre à l’autre bout de la planète me lèguent leurs instruments de torture, que je m’empresse d’utiliser. Tout cela n’est donc pas entièrement ma faute, mais il me faut assumer quand même ma part de responsabilité dans cette mauvaise pente que suis en train de suivre.

Mais y’a pire… Si c’était juste une question d’hygiène de vie, ça pourrait encore aller. Mais là, j’en suis réduit à surveiller les résultats, à me tâter les biceps pour voir s’ils poussent, à en venir à espérer enlever le gras pour qu’on voit enfin mes abdominaux… Bref, des idées malsaines…

Et voilà, que moi, je suis saisi d’une angoisse que je ne pensais bien ne jamais ressentir : ils sont où mes pectoraux ????? Bah oui, parce que même si les autres muscles n’ont pas forcément tous doublés de volume en quelques semaines, au moins, des fois, ils tirent quand je les fais travailler… Mais les pectoraux jamais… Comme si je ne pouvais développer ces muscles, faute d’en avoir aucun à la base… Après tout, peut-être que je souffre d’une malformation musculaire rare… Pourtant, d’après ce que j’ai pu lire, je fais bien les exercices qu’il faut… Sans doute une punition divine pour être en train de renié mes engagements à ne jamais toucher à cette saloperie qu’est le sport !

Voilà ce à quoi j’en suis réduit… Oui, je sais c’est moche… Qu’on me rende mon canapé, ma bière et ma pizza !!!!

LA METEO EST DANS LE PRE

froid

 

froidTravailler avec les agriculteurs présente un avantage dont les conseillers d’orientation parle bien trop peu souvent. En effet, les paysans possèdent une caractéristique qui met à l’abris leurs interlocuteurs d’un fléau que connaisse bien tous ceux qui ont longuement fréquenté Meetic : celui de n’avoir rien à se dire. Et oui, à un exploitant agricole, vous pouvez toujours au moins lui parler du temps qu’il fait !

 

Pour un agriculteur, le temps qu’il fait est un vrai sujet de conversation, et non un sujet que l’on aborde uniquement lorsque l’on a strictement rien à se dire. Et c’est merveilleusement pratique pour briser la glace quand vous en rencontrer un pour la première fois. Ne souriez pas, d’un point de vue purement professionnel, ça permet de débuter une conversation en évitant les blancs et de jauger votre interlocuteur avant de vous lancer dans le vif du sujet. Une pointe de météo et votre négociation commerciale part du bon pied.

 

Enfin tout ça, et même si vous n’êtes pas agriculteurs, c’est juste pour vous dire : putain il caille !

JE DEBRANCHE QUAND JE VEUX !

cyberdependance

cyberdependanceCette après-midi, j’ai vécu une expérience horrible. Une après-midi de boulot sans internet !!! Non, mais vous imaginez quelle horreur !!! Je n’ai du faire que travailler… Et du coup, j’ai même pris de l’avance par rapport à ce que j’avais prévu de faire aujourd’hui. Si c’est pas scandaleux, jusqu’où tout cela s’arrêtera-t-il !

Plus sérieusement, ce sont ce genre de petits moments où l’on sent quand même chez soi une légère cyber-dépendance. Passer plusieurs jours de vacances sans accès à la toile ne me pose encore aucun problème (même si du coup, je m’inquiète beaucoup pour mon club de foot virtuel…), mais être assis devant un ordinateur plusieurs heures sans pouvoir se connecter est terriblement frustrant. Je n’étais pas tout à fait pris de sueur froide et de tremblements, mais bon, c’était limite…

Un ordinateur sans internet nous semble aujourd’hui aussi saugrenue et obsolète qu’une machine à écrire. Peut-être que dans un avenir proche, tous les ordinateurs seront directement capables de se connecter à un réseau wifi ou satellite universel, partout, tout le temps. Ok, ça s’appelle un Iphone, mais ce n’est pas encore tout à fait la même chose. Ah quand l’humanité (enfin l’Occident, faut pas déconner quand même) atteindra ce degré de civilisation, nous nagerons enfin tous dans la joie, le bonheur, l’allégresse, la félicité, le nirvana. Nos vies seront recouvertes de paillettes en chocolat. Nous danserons constamment dans la rue pour exprimer notre contentement le plus absolu. Mon Dieu que sera beau…

…ou pas, puisqu’il y’a aussi une chance qu’on meurt tous d’une tumeur au cerveau d’ici là…

C’EST LA RENTREE

larentre

larentreLes vacances, c’est comme toutes les bonnes choses, ça a une fin. Après la pluie, le beau temps et après le farniente, la rentrée. La mienne est pour lundi matin 8h…enfin 9h… enfin quand je serai réveillé, douché et arrivé au bureau. Reste à espérer que le courrier qui m’attend contient plus de bonnes que de mauvaises nouvelles, histoire de se remettre dans le bain avec le moral.

Cet été 2010 aura été vraiment sous le signe des vacances puisque en plus de mes 4 semaines en août, j’ai pu prendre également une semaine et quelques jours épars en juillet. Que voulez-vous, je travaille trop le reste de l’année. C’est vrai que j’ai un peu tendance à beaucoup regrouper mes congés. Honnêtement, c’est avant tout un choix pour convenance personnelle, mais ça m’arrange professionnellement. Bossant seul, ma structure n’a plus aucune activité lorsque je ne suis pas là. Et c’est encore pendant les deux mois d’été que c’est le moins gênant. 

Ces vacances furent riches et je n’ai pas le moins du monde l’impression de ne pas avoir pleinement profitées. Bien sûr, ma semaine en République Dominicaine a largement contribué à rendre ce mois d’août inoubliable. Un très beau voyage dans un pays magnifique. Ca m’a surtout redonné le goût du voyage et je pense que j’aurais bien du mal à passer un été sans partir. J’avais un peu peur de partir seul, mais finalement ça ne gâche guère le plaisir et c’est toujours mieux que de ne pas partir du tout.

Par contre, comme à mon habitude, je termine mes vacances en ayant l’impression de ne pas avoir fait la moitié de ce que je comptais faire. Bon pas la moitié, j’exagère peut-être un tantinet. Mais à ma grande déception, je n’aurais pas écrit une ligne en dehors des billet sur ce blog. Ce n’est donc pas demain que je terminerai un roman. Le temps, le temps, le temps… Voilà quelque chose qui me manquera je pense jusqu’à la fin de mes jours. Mais c’est surtout la preuve que je ne m’ennuie pas. Et puis, le temps qui me manque, c’est surtout du temps que j’ai consacré à autre chose qui m’a fait plaisir et qui m’a tenu à cœur (bon sauf le repassage peut-être…).

Bon que souhaiter pour cette rentrée ? Plein de choses comme gagner au loto, la démission de Sarkozy, le PSG en tête du championnat… Bref pas mal de chose qui ont objectivement assez peu de chance de survenir. Mais un développement un peu plus rapide de mon activité professionnelle, du sexe, de l’alcool et du rock’n roll, ça serait parfait. Du temps pour écrire, des bons films, un bel été indien et des victoires du PSG et là, ça serait le bonheur !

Et puis, faut que je me bouge pour préparer ma candidature pour 2012 et la conquête de Viroflay en 2014. Et là, y’a du boulot…

EMBARQUEMENT POUR LE FARNIENTE

vacances

vacancesDemain soir, je suis en vacances !!! Et vue ma productivité exceptionnelle de cette semaine (non, ce n’est pas ironique), je l’aurais bien mérité. Bon, ce n’est qu’une petite semaine, histoire d’y prendre goût avant les 4 semaines de congés traditionnelles du mois d’août. Et cette année, je pars !

Bon, je ne sais pas encore où, ni tout à fait quand, mais c’est sûr, je monterai dans un avion direction le soleil et un océan et une mer avec de l’eau chaude. Déjà parce que cette année, j’ai les moyens de me les payer, mais surtout parce que pas question de renouveler le plan de l’année dernière : une semaine à la campagne en tête à tête avec mes parents et trois semaines chez moi. En fait, je n’ai pas vraiment envie de voyage, j’ai envie de vacances !!

Alors oui, je vais sûrement bronzer idiot, me reposer, lézarder au soleil et découvrir le vrai sens du mot farniente. Ce ne sera sûrement ni culturel, ni très écologique (désolé Hélène !), mais ça me fera du bien ! Et ceux qui ont émis la crainte que je m’ennuie en partant seul ne me connaisse pas si bien que ça, car c’est un mot dont j’ignore la signification. C’est simplement dommage que je n’ai pas d’ordinateur portable parce que ça aurait pu me faire une occasion pour écrire autre chose que mon blog et enfin finir le deuxième chapitre de mon roman commencé l’été dernier. Enfin bon, il me restera trois semaines pour ça.

Mes envies de voyage seront sûrement remises à plus tard (même si le circuit en République Tchèque reste une option envisagée), avec notamment un voyage en Inde dont je rêve depuis longtemps et qui aura une forte signification pour moi. Ce n’est pas tout à fait le même budget, alors il faura que je garde la même productivité que cette semaine pour l’espérer pour l’année prochaine… On y croit tous très fort !

JE POUFFE DONC JE SUIS

pouffe

pouffeVoici quelques jours que j’ai fait mon coming-out. Et depuis, tout va mieux, je me sens plus léger, enfin libre d’être moi-même et surtout entier. J’ai décidé d’assumer cette partie de moi dont j’aurais pu avoir honte, mais qui maintenant, serait presque une fierté. Je n’ai plus à le cacher, je peux vivre au grand jour et crier haut et fort : il y’a une pouffe qui sommeille en moi !

En effet, j’aime Sex and the City à la télé et au cinéma, j’ai adoré les comédies musicales Hairspray et Dreamgirls, j’ai vu plus de cinq fois le Journal de Bridget Jones, j’attends avec impatience de lire le dernier tome de l’Accro du Shopping, dont j’ai dévoré les précédentes aventures, j’écoute Briteny, Jennifer Lopez, Beyonce et Kylie Minogue avec un énorme plaisir, en particulier en faisant le repassage, pendant lequel je remue mon popotin au rythme de la musique tout en maniant le fer avec dextérité, je porte avec joie une chemise rose, je pleure une fois sur deux au cinéma, j’ai des envie de bébés et de mariage avec 300 invités, je trouve George Clooney beau à regarder, je bois du Passoa et je ne crache pas sur le Soho, j’ai déjà possédé un sac à main et enfin je me sers régulièrement d’une pince à épiler !

Bon quand je relis ça, ça me fait presque un peu peur. Un jour une amie, après m’avoir dit que j’avais un côté féminin très développé, m’assuré que c’était un compliment. Bien sûr, elle ne pensait pas forcément à la pouffitude, avec son lot de paillettes et de glamour. Mais tant qu’à être une femme, autant être Carrie Bradshaw ou Becky Bloomwood, c’est nettement plus amusant que Elisabeth Badinter ou Marie Curie.

Enfin, si jamais ma virilité lisait cet article par dessus mon épaule et commençait à s’inquiéter, je lui rappellerais simplement qu’à côté de tout ce que j’ai cité plus haut, j’adore le foot, le bière et les pizzas, jouer aux jeux vidéos, jouer aux jeux de vidéos de foot, considère Conan le Barbare, Commando et Predator comme des chefs d’œuvres cinématographiques, je demanderais l’envoi des cendres de Zidane au Panthéon après sa mort, je n’ai aucun produit de beauté en dehors de mon après-rasage, je suis poilu et je m’en fous, j’ai du bide et je m’en fous, je supporte le PSG, je considère le orange comme une couleur tout à fait respectable et ne voit aucun problème à porter des chaussures noires avec un pantalon clair, j’ai déjà pris plaisir à boire de la bière chaude, j’ai une photo du PSG au-dessus de mon lit, je suis persuadé que les légumes faisaient partie des fléaux libérés par Pandore, je fais le ménage quand c’est sale, pas pour empêcher que ça le devienne, je regarde un match de foot en écrivant ce billet, je considère le tour de poitrine un critère aussi respectable que le QI pour choisir sa femme, considère le féminisme comme une maladie et j’aime le foot (mais ça, je crois que je vous l’ai déjà dit…).

Bon d’un coup, me voilà rassuré. La pouffe sommeille peut-être en moi, se réveille de temps en temps, mais bon, elle est encore loin d’avoir piqué la télécommande ! C’est encore le mâle qui commande ! Non mais !

ILS NE SONT PLUS PERDUS, MAIS ILS LAISSENT UN VIDE…

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lostVoilà, c’est fini… Jack, Kate, Sawyer, Locke et Hurley ne seront plus jamais Lost on the Island. Ca fait un peu bizarre, quand on a passé six ans avec de tels personnages, de se dire qu’ils ne feront plus jamais partis de notre vie. Bon ok, ce n’était qu’une série, mais pas n’importe laquelle. Auparavant, je n’avais ressenti qu’une seule fois cette impression si particulière, le jour de la fin de Friends…

Plus que toute autre série, les six saisons de Lost auront raconté une seule et même histoire en continue. Enfin une seule, c’est vite dit, vu qu’elle s’est toujours caractérisée par ses intrigues parallèles. Le découpage en saisons est ici largement artificiel, même si évidemment chacune d’elle se termine sur un cliffhanger encore plus terribles que d’habitude. C’est cette continuité qui a fait son immense succès car il a toujours laissé le spectateur avec sa frustration et son envie irrésistible de connaître la suite. C’est ce qui fait de cette série une expérience unique dans l’histoire de la narration et une série vraiment à part.

Lost est aussi une des rares séries ayant réussi à rebondir pour repartir de plus belle. Ce n’était pourtant pas évident d’arriver à changer les ressorts narratifs tout en gardant cette continuité. Les scénaristes y sont parvenus alors qu’à la fin de la saison 2, on pouvait vraiment craindre que la série soit vraiment partie pour tourner définitivement en rond. Ce ne fut pas du tout le cas par la suite, pour notre plus grand bonheur.

Tout cela a fait de Lost un vrai compagnon. C’est un peu le cas de toutes les séries, dont on attend fébrilement et avec impatience chaque nouvel épisode. On surveille les dates de sortie, on compte les jours, on hurle à la fin de chaque saison en pensant aux longs mois qui nous sépare de la reprise. Un peu comme les saisons (printemps, été, automne, hiver !!!!), les séries que l’on aime rythment notre vie. Elles constituent aussi un vrai sujet de discussion universel, une vraie culture qui a pris un fantastique essor ces dernières années, même si on oublie souvent que pendant longtemps les œuvres littéraires étaient publiées en premier lieu sous forme de feuilleton. Les séries ont crée leurs propres mythes, leurs propres codes, leurs propres références.

Lost aura largement contribué à cette montée en puissance de la série télévisée comme outil de narration. Son intrigue constitue surtout une des plus incroyables histoires jamais racontées. Bien sûr, sa conclusion (enfin on parle des 15 dernières minutes) n’est peut-être pas tout à fait à la hauteur du reste (cela pourrait constituer un débat à lui seul, mais franchement, j’ai pas la force de l’entamer là, tout de suite). Mais même si les adieux sont décevants, cela n’enlève rien à la légère tristesse d’être arrivé au bout d’une si belle aventure… Et Dieu qu’elle fut belle…

MY LIFE ON LINE

google

googleJ’étais sur le point d’écrire un article pour vous raconter ma matinée, qui s’est finie sur ce que je voulais, mais qui ne s’est pas du tout déroulée comme prévu. Et puis, je me suis dit, que, même si j’imagine très mal un de mes administrateurs lire ces quelques lignes, il est peut-être bon d’éviter de publier un papier sur ses employeurs accessibles à tous, y compris eux.

Du coup, je me suis demandé si jamais un employeur potentiel voulait en savoir plus sur moi par l’intermédiaire d’Internet, quel image aurait-il. Je me suis donc googlé. Bon, ce n’est pas la première fois, mais j’aime bien le faire de temps en temps pour voir l’évolution.

Pendant longtemps, cet exercice fut assez mauvais pour ego, puisque je tombais essentiellement sur des liens renvoyant vers le livre écrit par mon oncle, Jean Bouffartigue, sur l’empereur Julien. Désormais, il faut aller en page 3 pour en trouver trace, c’est quand même beaucoup plus flatteur. Je suis également heureux d’apprendre que j’apparais sur 11 800 pages… Bon ok, si je limite ma recherche à l’occurrence exacte « Julien Bouffartigue », ce chiffre tombe à 731, mais franchement qui utilise cette option sous Google… Les gens intelligents certes, mais bon, on s’éloigne du sujet là !

Premier résultat… mon site ! Logique me direz-vous, mais ça n’a pas toujours été le cas. Evidemment, cette porte ouverte sur moi-même permet à n’importe qui de savoir que j’adore les Chevaliers du Zodiaque et que je collectionne les figurines, mais bon j’assume. A la fois, on voit surtout que j’aime Audrey Hepburn et la politique. Et puis, de toute façon, j’assume, je vous dit ! Par contre, il faudra m’expliquer pourquoi la page associée est ma critique d’Un Singe en Hiver. Les mystères  de Google…

Deuxième résultat, ma biographie… Dis comme ça, ça en jette un max. Bon il s’agit plus modestement de la petite présentation de moi-même que j’avais écrit dans le cadre des élections municipales et qui est encore présente sur le site de notre groupe municipal. Mais bon, si vous voulez un court résumé de ma vie, c’est l’endroit où aller.

Troisième résultat, mon profil Viadeo… Là c’est déjà plus étonnant puisqu’il n’y a rien dedans ou si peu. Comme quoi la pertinence des résultats sous Google reste à améliorer.

Quatrième résultat, un lien vers la page Facebook consacrée aux Chouans de Balzac… Qu’est ce que ça fout là me direz vous ? Je me suis demandé ça aussi, avant d’aller voir de plus près et m’apercevoir que Facebook a crée un lien vers la page de mon site consacrée à ce livre et que j’avais publiée sur mon mur. Sur le coup, je me suis dit qu’ils étaient quand même gonflés, avant de me rappeler que je donne le statut le plus ouvert possible à ce genre de publication. Et puis cela prouve à quel point mon site est une référence sur le web… Ok, c’est bon, laissez-moi rêver.

Cinquième et sixième résultats, le site de la mairie et l’annuaire des mairies de France. Là, c’est logique, c’est même étonnant que ça n’apparaisse pas plus haut.

Septième résultat, le site de ma boîte que j’ai fait avec mes petits doigts… Le site, pas la boîte. Enfin quoique… Là encore, il y’a quelques lignes sur ma vie, mon œuvre, mais c’est quand même beaucoup moins personnel que pour eux.

Huitième résultat, un page 123people, sauf que ce n’est pas la mienne, mais celle d’un autre élu viroflaysien. C’est trop injuste, vu que moi aussi, j’ai ma page 123people ! Bon, il n’y a vraiment pas de quoi être fier, surtout que ce site est quand même un des plus inutiles qui soit.

Neuvième résultat, le classement d’un concours sur le site vos-gencives.com… Bon comment dire, on tombe ici dans le sans intérêt alors on va s’arrêter là !

Et dire qu’il va falloir attendre 2012 pour que le site de l’Elysée figure dans cette liste…

ARGENT CONTENT !

argent

argentSi tout va bien (mais tout va aller bien, sinon je cherche illico du boulot ailleurs), je devrais être augmenté suite à mon Conseil d’Administration de vendredi. Vous me direz, ce sont des choses qui arrivent et qui me sont déjà arrivées. Oui, mais ce petit gain supplémentaire mensuel devrait avoir deux conséquences peut-être symboliques, mais les symboles sont parfois importants.

Déjà, je vais pouvoir faire un virement sur mon Livret de Développement Durable (vous aussi vous continuez à appeler ça un CODEVI ou y’a que moi ?). Car aujourd’hui, mes économies se montent pour tout et pour tout à environ…15 euros. Oui, fallait bien y laisser quelque chose pour ne pas le fermer. J’ai d’ailleurs été très heureux d’apprendre qu’ils m’ont permis de gagner environ 3 centimes d’intérêts l’année dernière. Petit à petit, l’oiseau…fait que dalle ! Bref, j’ai 30 ans, et si j’ai été élevé dans l’idée que l’argent est fait pour être dépensé, avoir quelques sous de côtés ce n’est quand même pas du luxe. Bon, on ne se refait pas, cet argent va être largement dépensé cet été pour financer des vacances que je refuse de me refuser (que je m’interdis de m’interdire, comme vous préférez), mais j’essayerai d’en garder quand même un peu. Et ayant toujours bossé en rapport avec le patrimoine, je sais bien que l’expression l’argent va à l’argent n’est pas qu’une expression justement. Bon, la phase placements n’est pas tout à fait pour demain, mais faut bien commencer un jour.

La deuxième chose que j’espère bien faire à partir de vendredi prochain, c’est manger à nouveau deux fruits par jour. Oui, bon, je sais, cela fait longtemps que j’ai les moyens de le faire. Simplement, quand je suis revenu à Paris et que mon découvert s’est creusé à vitesse grand V les premiers mois, j’ai du mettre en œuvre un plan d’économies drastiques, même sur les dépenses alimentaires. C’était vraiment un domaine où je n’avais vraiment jamais fait attention à rien. J’ai découvert que même ces choses là avaient une valeur et qu’il fallait y faire attention. Je ne vais tout de même pas me la raconter, je n’ai jamais eu vraiment de problèmes d’argent. Mais bon, subir l’humiliation de se voir refuser dix euros par sa banque pour acheter le pain, on y survit, mais sur le moment, ce n’est pas super agréable à vivre. Cependant, avec le recul, je ne suis pas si mécontent de l’avoir vécu. Même si le découvert faisait suite à un voyage en Suède, il faut quand même savoir relativiser…

Le monde est divisé en deux catégories de personnes : ceux qui ont des problèmes d’argent et ceux qui ont des problèmes d’impôts. Et bien je serai ravi de quitter définitivement la première catégorie pour la seconde !

UN CORSAGE FAIT-IL LE PRINTEMPS ?

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wonderbraCe billet n’est pas une parodie de George Brassens et ses jolies passantes. Ce n’est pas non plus une déclaration d’amour à la très jolie joggeuse que je croise régulièrement en allant bosser. Enfin pas tout à fait. En effet, hier, au lieu de jogging boutonné jusqu’aux oreilles, vue la température ambiante, elle m’a offert une jolie vue sur son beau corsage.

Je sens déjà les ayatollah du code vestimentaire m’expliquer que, techniquement parlant, ce débardeur de sport ne constituait pas un corsage. Je m’en fous, je trouve le mot joli et ça ne m’empêchera pas de crier haut et fort la seule chose importante de ce billet : vive le printemps !