Moi qui répète à longueur d’avis que je n’aime pas l’électro, vous allez vraiment finir par vous demander pourquoi je n’arrête pas d’écrire des critiques sur des albums tournant autour de ce genre musical. Je devine déjà certains d’entre vous m’imaginant bardé de cuir, portant sur moi quelques pinces bien placées et criant « encore, encore ! » à une charmante jeune femme armée d’en fouet. Je vous rassure, il n’en est rien. Simplement, j’aime beaucoup les deux singles et j’avais envie de voir ce qu’il y’avait autour.
C’est aussi Time to Pretend, un autre single vraiment très bon et qui pouvait donner à penser que tout l’album était dans la même veine. C’est enfin, Weekend Wars, un titre excellent qui nous rappelle un peu les Beatles…. Et voilà, c’est tout. Et le reste me direz-vous ? Bah le problème, c’est que le reste est composé de titres parfois sympathiques, mais guère enthousiasmants, parfois même carrément transparents. Trois bons titres, même si l’un d’entre eux est devenu un classique, c’est un peu court jeunes hommes !
Je n’ai donc pas trouvé dans Oracular Spectacular ce que les deux singles m’avaient espéré. Dommage.
1.: Time To Pretend
Un single électro-rock très mélodique et rythmé.
Un peu comme les Beatles version électro, pour un résultat pas mal du tout.
3.: Youth
Un titre plus purement électro, une nouvelle fois très mélodique, mais un rien lancinant.
Une marche électro, sympa, mais pas très entraînante.
5.: Kids
Un immense tube qui flatte les oreilles.
Un titre à la consonance un peu mystique, avec des effets d’écho qui rappellent une église.
7.: Pieces Of What
Un morceau plus pop, mais qui ne décolle pas vraiment.
Nouveau titre pop-rock, sympa, mais sans plus.
9.: Handshake
Une pop très électro… Trop sûrement…
Un morceau fade et transparent