Labyrinthitis (Destroyer) : A se fermer les oreilles
On débute avec les Canadiens de Destroyer et leur album Labyrinthitis, sorti en 2022. J’ai déjà discuté ici de trois de leurs albums précédents (Kaputt, Poison Season et Have We Met), qui m’avaient laissé sur des impressions quelque peu mitigés, mais tout de même globalement positive. Ici, on se retrouve immédiatement plongé dans une ambiance éthérée, pas très mélodieuse. Les sonorités sont dissonantes et souvent sans relief. Une certaine attention renaît quand le rythme devient plus dynamique, avec des accents électro, mais comme le résultat casse quelque peu les oreilles, on les referme vite. La voix de Dan Beja est sur cet album étonnamment insupportable.e m L’album est vraiment pénible à écouter tout du long, avec certains titres qui semblent être là juste pour faire du remplissage, même s’il se termine tout même sur une jolie balade.
The Fantasy Life of Poetry & Crime (Pete Doherty et Frédéric Lo) : Inoxydable
On poursuit avec une vieille connaissance que la drogue et l’alcool auraient pu faire disparaître de la circulation. Mais il faut croire que Pete Doherty a la peau dure. Il revient, en duo avec Frédéric Lo, un artiste ruthénois, pour un album intitulé The Fantasy Life of Poetry & Crime. Elle s’ouvre sur une balade douce qui sublime sa voix, comme une invitation à le suivre pour le reste de l’album. La suite est tout aussi séduisante, baignant toujours dans l’harmonie. La douceur n’empêche pas l’énergie et la conviction dans les interprétations acoustiques. La qualité est constante et le résultat très solide.
King Hannah est un duo originaire de Liverpool. Leur premier album, I’m not Sorry, I Was Just Being Me est sorti en 2022. Ils nous plongent dans une ambiance sombre, mais rock. Leur musique est lente et envoûtante, nous faisant penser à un mélange de
Keeley Forsyth
On commence avec le groupe américain
Nilüfer Yanya
On commence cet avis plutôt moyen avec un groupe britannique appelé
On reste de l’autre côté de la Manche avec
Piece of Me, qui date de cette année, n’est que le troisième album d’une artiste qui pourtant a connu un grand succès avec son premier, sorti en 1998. Nicole Wray a pour nom d’artiste
Los Bitchos
Première des trois jolies découvertes de cet avis : les Écossais de
On poursuit avec
On commence avec Unity du groupe britannique
On poursuit avec les Américains de
Le jazz est certainement le genre musical majeur où ma culture est la plus faible. Mais il y a quand même quelques artistes qui parviennent à se faire une place dans ma discothèque.
Derrière le nom de
On débute avec une artiste australienne que j’apprécie beaucoup,
On poursuit avec une immense star… que je n’avais pas la chance de vraiment connaître jusqu’à l’écoute de 30, son quatrième album. Je comprends mieux désormais le succès d’
Avant de passer à deux immenses stars, on commence par un groupe anglais nettement moins connu, Vanishing Twin. Leur album Ookii Gekkou se caractérise par la voix douce et évaporée de Cathy Lucas, qui vient se poser sur une musique qui navigue entre jazz et électro. Avec des sonorités étranges, c’est parfois envoûtant et mélodieux. Cependant, cela finit par tourner quelque peu en rond pour ne finalement plus ressembler qu’à une musique d’ambiance. C’est maîtrisé et relativement intéressant, mais un peu trop lisse. Les promesses du début se dilue malheureusement progressivement.
Damon Albarn
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